Vous avez récemment été embauché par une entreprise informatique qui utilise Google Cloud comme principal fournisseur de services cloud. En tant qu'expert en bases de données SQL, vous êtes chargé d'examiner et d'adopter les services SQL proposés par Google Cloud.
Vous devez par exemple vous préoccuper des points suivants :
Déploiement
Sécurité
Intégration des applications
Méthodes de connectivité
Comme vous utilisiez Amazon Web Services (AWS) dans votre poste précédent, vous savez comment configurer des instances Relational Database Service (RDS) pour vos opérations. Les instances AWS RDS ont une capacité redimensionnable et économique, et permettent de gérer les tâches chronophages d'administration de bases de données.
Dans AWS, la façon dont vous vous connectez à vos instances de base de données dépend de l'environnement. Voici quelques exemples :
Connexion à une instance de base de données dans le même VPC : vous configurez des règles de groupe de sécurité de cloud privé virtuel (VPC) afin de limiter l'accès aux instances de base de données.
Connexion à une instance de base de données dans un VPC différent : vous configurez une connexion d'appairage entre le VPC où se trouve l'instance de base de données et le VPC sur lequel le client est stocké.
Connexion à une instance de base de données via l'Internet public : si vous avez déjà configuré votre VPC et votre sous-réseau pour prendre en charge ce type de connexion, une passerelle Internet et des règles de groupe de sécurité sont nécessaires.
Connexion à une instance de base de données au moyen d'une connexion privée : afin d'établir une connexion privée entre votre VPC et un point de terminaison AWS RDS, vous créez un point de terminaison de VPC d'interface avec une connexion sécurisée AWS PrivateLink. Cela vous permet de vous connecter à vos instances AWS RDS sans utiliser de passerelle Internet, de passerelle de traduction d'adresses réseau (NAT), ni même d'adresse IP publique.
À présent, vous allez découvrir comment vous pouvez utiliser les fonctionnalités de Cloud SQL pour créer et connecter de manière sécurisée une base de données à une application.
Présentation
Dans cet atelier, vous allez apprendre à configurer un serveur Cloud SQL et découvrir comment connecter une application au serveur via un proxy, par le biais d'une connexion externe. Vous allez aussi apprendre à configurer une connexion via un lien d'adresse IP privée offrant des avantages en termes de performances et de sécurité. L'application que nous avons choisie à titre de démonstration dans cet atelier est WordPress, mais les informations et les bonnes pratiques sont applicables à toutes les applications nécessitant SQL Server.
À la fin de cet atelier, vous aurez deux instances de travail de l'interface WordPress connectées sur deux types de connexion différents à leur backend d'instance SQL, comme indiqué dans le schéma suivant :
Objectifs
Dans cet atelier, vous allez apprendre à effectuer les tâches suivantes :
Créer une base de données Cloud SQL
Configurer une machine virtuelle pour exécuter un proxy
Créer une connexion entre une application et Cloud SQL
Connecter une application à Cloud SQL à l'aide d'une adresse IP privée
Préparation
Pour chaque atelier, nous vous attribuons un nouveau projet Google Cloud et un nouvel ensemble de ressources pour une durée déterminée, sans frais.
Connectez-vous à Qwiklabs dans une fenêtre de navigation privée.
Vérifiez le temps imparti pour l'atelier (par exemple : 01:15:00) : vous devez pouvoir le terminer dans ce délai.
Une fois l'atelier lancé, vous ne pouvez pas le mettre en pause. Si nécessaire, vous pourrez le redémarrer, mais vous devrez tout reprendre depuis le début.
Lorsque vous êtes prêt, cliquez sur Démarrer l'atelier.
Notez vos identifiants pour l'atelier (Nom d'utilisateur et Mot de passe). Ils vous serviront à vous connecter à Google Cloud Console.
Cliquez sur Ouvrir la console Google.
Cliquez sur Utiliser un autre compte, puis copiez-collez les identifiants de cet atelier lorsque vous y êtes invité.
Si vous utilisez d'autres identifiants, des messages d'erreur s'afficheront ou des frais seront appliqués.
Acceptez les conditions d'utilisation et ignorez la page concernant les ressources de récupération des données.
Tâche 1 : Créer une base de données Cloud SQL
Dans cette tâche, vous allez configurer un serveur SQL en respectant les bonnes pratiques Google Cloud et créer une connexion IP privée.
Dans le menu de navigation (), cliquez sur SQL.
Cliquez sur Créer une instance.
Cliquez sur Choisir MySQL.
Spécifiez les paramètres suivants et conservez les valeurs par défaut des autres paramètres :
Propriété
Valeur
ID d'instance
wordpress-db
Mot de passe racine
saisir un mot de passe
Région
Zone
Tout
Version de la base de données
MySQL 5.7
Remarque :
Notez le mot de passe racine. Dans la suite de cet atelier, il sera désigné sous le nom [ROOT_PASSWORD].
Développez la section Afficher les options de configuration.
Développez la section Type de machine.
Provisionnez la quantité adéquate de vCPU et de mémoire. Pour choisir un type de machine, cliquez sur le menu déroulant, puis explorez vos options.
Chaque processeur virtuel est soumis à une limite de débit réseau de 250 Mo/s pour des performances optimales. Chaque cœur supplémentaire augmente la limite de débit réseau, jusqu'à un maximum théorique de 2 000 Mo/s.
Pour les charges de travail exigeant des performances élevées, telles que le traitement des transactions en ligne (OLTP), il convient généralement de s'assurer que votre instance dispose d'une mémoire suffisante pour contenir l'ensemble de travail complet et prendre en charge le nombre de connexions actives.
Pour cet atelier, sélectionnez Standard dans le menu déroulant, puis 1 vCPU, 3,75 Go de mémoire.
Développez ensuite la section Stockage, puis sélectionnez Type de stockage et Capacité de stockage.
Remarque : Voici quelques points à retenir.
Un disque dur SSD constitue le meilleur choix dans la plupart des cas. Les disques durs HDD offrent des performances inférieures, mais les coûts de stockage sont considérablement réduits. Ils peuvent donc être privilégiés pour stocker des données qui n'ont pas besoin d'être souvent consultées et qui ne requièrent pas une latence très faible.
Il existe une relation directe entre la capacité de stockage et le débit.
Cliquez sur chacune des options de capacité pour voir comment elle affecte le débit. Réinitialisez l'option à 10 Go.
Remarque :
Si vous réglez votre capacité de stockage à un niveau trop bas sans activer l'augmentation automatique du stockage, votre instance risque de sortir du cadre du contrat de niveau de service.
Développez la section Connexions.
Sélectionnez Adresse IP privée.
Dans la liste déroulante Réseau, sélectionnez par défaut.
Cliquez sur le bouton Configurer la connexion qui s'affiche.
Dans le panneau de droite, cliquez sur Activer l'API, puis sur Utiliser une plage d'adresses IP automatiquement allouée. Cliquez ensuite sur Continuer, puis sur Créer une connexion.
Cliquez sur Créer une instance en bas de la page pour créer l'instance de base de données.
Remarque :
Vous devrez peut-être attendre que les modifications d'adresse IP privée soient appliquées avant de pouvoir cliquer sur le bouton Créer.
Cliquez sur Vérifier ma progression pour valider l'objectif.
Créer une instance Cloud SQL
Tâche 2 : Configurer un proxy sur une machine virtuelle
Si votre application ne se trouve pas dans la même région et sur le même réseau VPC que votre instance Cloud SQL, utilisez un proxy pour sécuriser sa connexion externe.
Pour configurer le proxy, vous avez besoin du nom de connexion de l'instance Cloud SQL.
Remarque :
Cet atelier donne accès à deux machines virtuelles préconfigurées avec WordPress et ses dépendances. Vous pouvez voir le script de démarrage et l'accès au compte de service en cliquant sur le nom d'une machine virtuelle. Notez que nous avons utilisé le principe du moindre privilège et n'autorisons l'accès SQL que pour cette machine virtuelle. Une balise réseau et un pare-feu sont également préconfigurés pour ouvrir le port 80 à tous les hôtes.
Dans le menu de navigation (), cliquez sur Compute Engine.
Cliquez sur SSH à côté de wordpress-proxy.
Téléchargez le proxy de Cloud SQL et rendez-le exécutable :
Pour démarrer le proxy, vous avez besoin du nom de connexion de l'instance Cloud SQL. Gardez votre fenêtre SSH ouverte et retournez dans la console Cloud.
Dans le menu de navigation (), cliquez sur SQL.
Cliquez sur l'instance wordpress-db et attendez qu'une coche verte à côté de son nom indique qu'elle est opérationnelle (cela peut prendre quelques minutes).
Notez le nom de connexion de l'instance ; il sera utilisé plus tard et désigné par l'expression [SQL_CONNECTION_NAME].
En outre, pour que l'application fonctionne, vous devez créer une table. Cliquez sur Bases de données.
Cliquez sur Créer une base de données, tapez wordpress, qui est le nom attendu par l'application, puis cliquez sur Créer.
Revenez à la fenêtre SSH et enregistrez le nom de la connexion dans une variable d'environnement, en remplaçant [SQL_CONNECTION_NAME] par le nom unique que vous avez copié lors d'une étape précédente :
export SQL_CONNECTION=[SQL_CONNECTION_NAME]
Pour vérifier que la variable d'environnement est bien configurée, exécutez la commande suivante :
echo $SQL_CONNECTION
Le nom de la connexion doit être affiché.
Pour activer la connexion du proxy à votre base de données Cloud SQL et envoyer le processus en arrière-plan, exécutez la commande suivante :
Listening on 127.0.0.1:3306 for [SQL_CONNECTION_NAME]
Ready for new connections
Appuyez sur Entrée.
Remarque :
Le proxy écoutera sur 127.0.0.1:3306 (localhost) et se connectera de manière sécurisée à votre Cloud SQL via un tunnel sécurisé utilisant l'adresse IP externe de la machine.
Cliquez sur Vérifier ma progression pour valider l'objectif.
Créer une base de données et configurer un proxy sur une machine virtuelle
Tâche 3 : Connecter une application à l'instance Cloud SQL
Dans cette tâche, vous connecterez un exemple d'application à l'instance Cloud SQL.
Configurez l'application WordPress. Pour trouver l'adresse IP externe de votre machine virtuelle, interrogez ses métadonnées :
Accédez à l'adresse IP externe wordpress-proxy dans votre navigateur et configurez l'application WordPress.
Cliquez sur Let's Go (C'est parti).
Spécifiez les paramètres suivants, en remplaçant [ROOT_PASSWORD] par le mot de passe que vous avez configuré lors de la création de la machine, et conservez les valeurs par défaut des autres paramètres :
Propriété
Value (Valeur)
Username (Nom d'utilisateur)
root
Password (Mot de passe)
[ROOT_PASSWORD]
Database Host (Hôte de base de données)
127.0.0.1
Remarque :
Vous utilisez 127.0.0.1 (localhost) comme adresse IP de la base de données, car le proxy que vous avez mis en place écoute sur cette adresse et redirige ce trafic vers votre serveur SQL de manière sécurisée.
Cliquez sur Envoyer.
Lorsqu'une connexion a été établie, cliquez sur Run the installation (Exécuter l'installation) pour instancier WordPress et sa base de données dans votre Cloud SQL. Cela peut prendre un moment.
Complétez les informations de votre site de démonstration avec des valeurs aléatoires et cliquez sur Install WordPress (Installer WordPress). Vous n'aurez pas besoin de vous souvenir de ces informations ni de les utiliser.
Remarque :
L'installation de WordPress peut prendre jusqu'à trois minutes, car il propage toutes ses données à votre serveur SQL.
Lorsqu'une fenêtre confirme que tout a bien fonctionné, supprimez le texte situé après l'adresse IP dans la barre d'adresse de votre navigateur Web et appuyez sur Entrée.
Vous verrez apparaître un blog WordPress fonctionnel.
Tâche 4 : Se connecter à Cloud SQL via une adresse IP interne
Si vous pouvez héberger votre application dans la même région et sur le même réseau VPC que votre Cloud SQL, vous pouvez utiliser une configuration plus sécurisée et plus performante en vous servant d'une adresse IP privée.
En utilisant une adresse IP privée, vous augmentez les performances en réduisant la latence et en limitant la surface d'attaque de votre instance Cloud SQL, car vous pouvez communiquer avec elle exclusivement via des adresses IP internes.
Dans la console Cloud, accédez au menu de navigation (), puis cliquez sur SQL.
Cliquez sur wordpress-db.
Notez l'adresse IP privée du serveur Cloud SQL ; elle sera désignée par l'expression [SQL_PRIVATE_IP].
Dans le menu de navigation, cliquez sur Compute Engine.
Remarque :
Notez que wordpress-private-ip est situé dans us-central1, où se trouve votre Cloud SQL, ce qui vous permet de bénéficier d'une connexion plus sécurisée.
Copiez l'adresse IP externe de wordpress-private-ip, collez-la dans une fenêtre de navigateur et appuyez sur Entrée.
Cliquez sur Let's Go (C'est parti).
Spécifiez les paramètres suivants et conservez les valeurs par défaut des autres paramètres :
Propriété
Value (Valeur)
Username (Nom d'utilisateur)
root
Password (Mot de passe)
saisissez le mot de passe [ROOT_PASSWORD] configuré lors de la création de l'instance Cloud SQL
Database Host (Hôte de base de données)
[SQL_PRIVATE_IP]
Cliquez sur Submit (Envoyer).
Remarque :
Notez que cette fois, vous créez une connexion directe à une adresse IP privée ; vous ne configurez pas un proxy. Cette connexion est privée, ce qui signifie qu'elle ne sort pas vers Internet : les performances et la sécurité sont donc meilleures.
Cliquez sur Run the installation (Exécuter l'installation).
Une fenêtre indiquant que l'application est déjà installée s'affiche, ce qui signifie qu'elle est connectée au serveur Cloud SQL par une adresse IP privée.
Dans la barre d'adresse de votre navigateur Web, supprimez le texte situé après l'adresse IP et appuyez sur Entrée.
Vous verrez apparaître un blog WordPress fonctionnel.
Tâche 5 : Récapitulatif
Dans cet atelier, vous avez créé une base de données Cloud SQL et l'avez configurée pour utiliser à la fois une connexion externe via un proxy sécurisé et une adresse IP privée, qui est plus sûre et performante. Rappelez-vous que vous ne pouvez vous connecter à l'aide d'une adresse IP privée que si l'application et le serveur Cloud SQL sont situés dans la même région et font partie du même réseau VPC. Si votre application est hébergée dans une région, un VPC ou même un projet différent, utilisez un proxy pour sécuriser sa connexion externe.
Maintenant que vous savez comment créer et configurer une base de données dans Cloud SQL, examinons certaines similitudes et différences entre AWS RDS et Google Cloud SQL.
Similitudes :
Google Cloud SQL et AWS RDS sont des services gérés qui effectuent les tâches suivantes pour vous :
Mises à jour d'instances
Installation de logiciels de base de données et application de correctifs
Sauvegardes
Basculement
Dans Google Cloud SQL comme dans AWS RDS, vos instances de base de données sont basées sur des machines virtuelles qui vous permettent de choisir le type, la taille et la capacité de stockage de vos instances en fonction de vos besoins.
Les deux services vous permettent d'établir une connexion sécurisée avec vos instances de base de données par le biais d'un tunnel sécurisé sans avoir besoin d'un réseau autorisé ni de chiffrement SSL. La façon d'établir cette connexion sécurisée est différente pour chaque service. Dans AWS, vous utilisez AWS PrivateLink, tandis que dans Google Cloud, vous utilisez le proxy d'authentification Cloud SQL.
Les deux services sont compatibles avec les moteurs MySQL, PostgreSQL et SQL Server.
Différences :
Outre les moteurs de bases de données mentionnés dans les similitudes, AWS RDS est également compatible avec les moteurs de bases de données Oracle et MariaDB.
Les deux services vous permettent d'établir une connexion privée entre vos instances de base de données et vos autres ressources sans exposer le trafic à l'Internet public et sans créer de connexion NAT. Cependant, la façon d'activer cette fonctionnalité est différente dans les deux services :
Dans AWS RDS, vous créez un point de terminaison de VPC AWS PrivateLink et vous le configurez en tant que cible pour votre instance de base de données.
Dans Google Cloud SQL, vous activez la fonctionnalité d'adresse IP privée dans les options de configuration de votre instance de base de données.
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